Votre capacité à arrêter de fumer peut être affectée par la dépression. Des effets secondaires peuvent survenir lors de l’arrêt. Parfois, le désir d’arrêter de fumer apparaît lorsque tout va mal. Mais comment arrêter de fumer pendant une dépression ?
Quelques précautions essentielles et informations de base nécessaires
La première information concerne l’ordre chimique. Presque tous les fumeurs peuvent admettre qu’ils sont dépendants de la nicotine. Cependant, peu de gens savent qu’ils sont également dépendants de plusieurs substances chimiques pourvues dans une cigarette. Ceux-ci ont le même effet sur le cerveau que certains médicaments antidépresseurs. Sans prendre conscience, de nombreux fumeurs utilisent leur cigarette comme une béquille dans le but d’éviter la dépression. Ou même pour endurer avec succès des circonstances de vie pénibles tout en gardant une attitude positive. Si on supprime les produits antidépresseurs du tabac, cela peut exacerber les problèmes d’humeur chez le candidat si on ne modifie pas ses situations de vie difficiles. La décision d’arrêter de fumer prise par le fumeur peut être mise en péril par ces derniers. Ces problèmes peuvent provenir d’un manque d’envie de communiquer et de partager avec les autres. Et même à l’autodépréciation, avec des déclarations du type qu’il n’a pas beaucoup de valeur, et que cette vie ne vaut pas la peine d’être vécue. Et tout le reste est accompagné à une forte émotion, à des larmes faciles.
Faire une évaluation préliminaire des sentiments anxieux et dépressifs avant d’arrêter de fumer
En fait, 2 questionnaires internationaux validés sont disponibles lorsque vous n’êtes pas accompagnés par un tabacologue. Ils sont relativement faciles à compléter et à interpréter avant d’entamer le processus de sevrage tabagique, pour se faire une idée de son degré d’anxiété et de dépression. Le test de Hamilton est le premier questionnaire qui étudie l’anxiété. Le nom du deuxième questionnaire qui examine la dépression est le test de Beck. En ce qui concerne le test de Beck, il est recommandé d’essayer d’abord le questionnaire de 13 questions. Grâce à cela, vous aurez déjà une image globale de votre dépression. Il est également conseillé de demander le conseil d’un professionnel de la santé avant de commencer votre sevrage tabagique si vos résultats indiquent déjà une dépression sévère ou modérée.
Compenser vos problèmes de dépression par une très petite quantité de médicaments
Ceci est fait pour vous aider à vous sentir à l’aise pendant les premiers mois de votre sevrage tabagique. Certes, les rechutes pendant la fin du premier et du sixième mois sont fréquemment associées à des problèmes psychologiques. Ces derniers sont liés à une baisse de la sérotonine, une substance extrêmement bénéfique pour votre cerveau. On vous suggère alors à faire un excellent travail de mise en situation et à mesurer avec précision vos propres forces et faiblesses. N’hésitez pas aussi à garder votre taux de sérotonine pendant un petit moment afin que votre cerveau fonctionne correctement.